Premier contact ambiguë [PV Aléanarya]

Aux paroles de l’hybride, le roi éclata d’un rire qui envahit la salle. Et les larmes aux yeux, il essaya de répondre mais riant trop il n’arrivait pas à placer deux mots un à la suite de l’autre. Après s’avoir calmé il réussit à reprendre son sérieux et répondit :
-Ah si tu crois que toi ou mon père me posent problème!! S’il ose débarquer des troupes sur mes plages elles n’iront pas bien loin. Je pourrais le tuer d’un seul claquement de doigt si on me le permettait mais malheureusement le dieu des dieux : Abussos, m’empêche de le faire, mais ton père sera tué un jour et ce sera par le porteur de lumière et il ne pourra rien y faire. Par contre, il y a bien quelqu’un que je ne peux tuer facilement, mon horrible cousin. Tu dois savoir de qui je parle, ton père le vénère et toi aussi je parie. Oui, Azcatchi mon horrible cousin crave. Et moi, je suis la seule personne qu’il a à craindre. Je suis Solis, le dieu jaguar, fils ainé d’Étanna déesse jaguar cheffe du panthéon félin et cousin d’Azcatchi qui cause tant de problèmes à son propre panthéon et à tous les autres. Mais seul je ne peux le tuer tout comme il ne peut pas me tuer seul. Oh, il y a bien un homme sur Enkidiev qui peut m’aider mais je serais bien sot de te révéler son nom.
Pour prouver ses dires le dieu rebelle se transforma en jaguar et poussa un rugissement si puissant qu’on l’entendit sûrement jusqu’à Opale.

Pour la première fois Aléanarya avait un peu peur pour sa vie, si elle retournerait vivante chez elle, Aléa écouterait un peu plus son père car il avait raison presque sur tout, elle était trop curieuse et cela causerait sa perte si elle ne la contrôle pas .Elle avait cru qu' Engar était de son cotée mais en fait non maintenant elle voyait clair dans son jeu , le saurien l’avait piégé , si elle ne l’aurait pas rencontré tout cela ne serait passer . Aléa se tourna vers Engar ses yeux ne montrés pas de la froideur comme d’habitude mais plutôt de la déception et de la tristesse, elle se concentra et lui parla par penser tout en le regardant dans les yeux

** je te fessais confiance et toi tu ma trahis **.

Puis elle les baissa elle avait pensé à beaucoup de situations possible et inimaginable mais pas a celle-là, elle essaya de se remémorerait les paroles que lui avait dit son père mais comme elle ne l’écoutait pas souvent voir jamais elle eut beaucoup du mal a sans rappeler mais elle arriva en vain, il lui avait dit :" il ne faut jamais perde espoir quand ou croit que tout est perdu"elle respira profondément et reprit petit à petit confiance en elle.

Elle n’avait pas bougé ni reculer quand le dieu Solís c’était transformer en jaguar, il ne fallait pas qu’elle montre ses faiblesses elle essaya de garder son visage le plus neutre possible comme elle a l’habitude de faire, elle se demanda ce qu’elle allait devenir , la meilleure façon de le savoir c’était de lui poser la question de toute façon elle n’avait plus rien à perdre elle était bloqué ici, aléa n'avait aucun moyen de s’enfuir , si ça aurait été un simple roi sa aurai été beaucoup plus simple mais là c’était un dieu .

- Puis je savoir ce que vous allez faire de moi ?

-Ce que je vais faire de toi? Eh bien c’est très simple. Oui, bien sûr, je pourrais te retenir ici aussi longtemps que je veux. Mais, à quoi ça me servirait? À t’empêcher que tu ailles tout raconter à ton père? Pourquoi priver un père de sa fille? Tu me serais plus utile si tu retournais à Irianeth et que tu ailles raconter tout ce que tu as vu ici à ton père. Je ne veux pas qu’il gaspille des soldats pour à les faire débarquer ici alors qu’ils ne dépasseront jamais mon château. Et qu’il informe mon ignoble cousin de ceci : ‘’Solis à lancer ta traque’’. Maintenant part et ne remet plus jamais le pied sur mes terres sans ma permission sinon tu y resteras.
Le dieu jaguar n’avait révélé qu’une petite partie des raisons pourquoi il la renvoyait à Irianeth à la fille de l’empereur. Il voulait semer le doute dans l’esprit de l’hybride afin qu’elle se demande pourquoi. C’était sa façon à lui de s’en prendre à l’empereur en semant le doute dans l’esprit de sa fille. Sans attendre qu’elle parte il se tourna ensuite vers Engar et lui dit :
-Tu as très bien fait de me l’emmener. Mais malheureusement c’est comme un chien dont tu ne peux plus t’occuper, tu ne veux pas le tuer mais tu dois le laisser partir. Nous ne pouvons pas la garder ici.
HRP : voilà, jamais j’ai eu l’intention de garder Aléa à Zénor. C’est comme un chien tu ne peux pas le garder. xD

... Ce fut particulièrement silencieusement que je suivi l'échange entre mon protecteur et Aléanarya tant afin de ne pas me montrer irrespectueux envers le premier que parce que je me sentais un peu coupable envers la seconde. C'était un peu idiot, mais même si elle était une menace potentielle et que j'avais fais ce qu'il y avait à faire, elle m'avait accordée sa conscience et je l'avais trahi, comme elle me le communiqua si bien par télépathie vers la fin de leurs conversation. Je fus tenté un bref instant de lui répondre sur le champs, mais je ne pus me le permettre, Nashoba s'adressant directement à moi alors qu'elle commençait à tourner les talons. Bien sur je comprenais ce qu'il voulait dire, me^me si la comparaison avec un chien pour un individu comme Aléanarya m'arracha une légère grimace, mais il demeurait un détail, bien plus important, qui me dérangeait un peu, et je me permettais de lui en faire part, m'approchant un peu de lui pour cela.

"Je comprends mon seigneur... Néanmoins si on veut garder la comparaison avec un chuien elle aurait pu être "dressée", bien que je n'aime pas ce terme... Après tout vous êtes bien aprvenu à prendre mes positions à vos côtés alors que j'étais au service d'Irianeth au départ. Pourquoi ne pas avoir fait de même avec elle, pourquoi ne pas avoir balayé d'un revers de main les mensonges de son père. Je ne souhaite pas remettre en cause vos actes, mais je crains que vous n'ayez fait qu'affirmer sa hargne à l'encontre des humains."

Avec une de mes griffes je me grattais légèrement la joue, sans douleur, frottant juste une des quelques écailles affleurant mon visage. Il y avait autre chose qui me dérangeait et c'était bien plus personnel.

"... Qui plus est il va se savoir que j'ai trahi et n'ait pas juste disparu en mission... Je risque d'en subir les conséquences et ce sera aussi le cas de ma mère."

Vu ainsi ça pouvait être futile. Cependant même si je voyais Nashoba comme mon souverain il était aussi un ami et je lui avais parlé plusieurs fois de mon lien étroit avec ma mère qui était bien la seule chose que je regrettais d'Irianeth. Je savais qu'il faisait ce qui lui paraissait juste ,mais pour ma part j'aurai donné ma vie pour sauver celle de ma génitrice.

Engar venait de donner de quoi réfléchir au roi. Il n’avait jamais pensé que sa décision pourrait nuire à la mère de son protégé. Il ne pouvait pas garder la fille de l’Empereur, c’était trop dangereux. Il n’oserait jamais le dire mais il avait peur que son cousin ne vienne la reprendre seulement pour avoir un motif de causer des damages parmi les zénorois et il en causerait beaucoup des damages. Même s’il ne pourrait jamais faire de mal à lui-même, Solis, ou à son protégé, Engar, il pourrait tuer bien des zénorois et Solis adorait les humains, c’était pour eux qu’il avait rejeté l’autorité de sa mère, déesse jaguar et cheffe du panthéon félin. Solis ne pouvait pas protéger tout son royaume non plus, il n’était pas encore prêt à affronter son cousin, pas s’il pouvait l’éviter. De plus, s’il avait été facile de mettre Engar dans le droit chemin mais la fille de l’Empereur c’était une autre paire de manches. Il ne réussirait probablement pas seul, il lui faudrait demander l’aide d’autres dieux, mais Solis était orgueilleux, il ne demanderait jamais de l’aide à sa famille féline ni même aux ghariyals, il lui faudrait opter pour le panthéon aviaire mais même s’il voulait détruire son fils crave, Lycaon n’avait aucune affection pour les humains, tout ce qu’il voulait c’était tuer Azcatchi afin de lui faire expier tous les meurtres qu’il a commis dans le monde des dieux aviaires et c’était tout, il était totalement indifférent au sort des humains peu lui importait si l’Empereur les exterminaient ou les asservissaient. L’important pour Lycaon c’était qu’on le vénère et ça finissait là. En tout cas, c’était ce que Solis pensait de son oncle condor. Mais il se dit alors qu’il pourrait bien essayé juste pour faire plaisir à Engar qui avait l’air à bien apprécier cette femme. Mais il se promit cependant de tout faire pour que la mère d’Engar soit protégée, il essaierait peut-être de l’amener à Zénor juste pour éviter de prendre le risque qu’elle ne se fasse tuer. Car si son plan de mettre la fille de l’Empereur dans le droit chemin échouerait, au moins Engar n’en serait pas trop attristé. Solis s’était pris d’affection pour le saurien, il le considérait bien plus comme un ami que comme un de ses sujets. Oui bien sûr Engar était son protégé mais c’était souvent le seul à réussir à lui faire changer d’idée.
-Je vais essayer de la mettre dans le droit chemin comme j’ai fait avec toi. Mais ce ne sera pas facile et c’est pour ça que j’ai également l’intention de tout faire en œuvre pour amener ta mère à Zénor. Car si le plan venait à échoué au moins elle serait à l’abri de l’Empereur et dans le cas contraire tu l’aurais près de toi. Maintenant je t’en prie amène là-moi je vais la conduire dans sa chambre. Je ne peux pas l’emprisonner. Abussos et Lessien Idril me l’interdiraient, ça perturberait l’équilibre de l’univers. Et je tiens à conserver l’équilibre vois-tu, c’est justement cet équilibre que s’il est conservé qu’Enkidiev reste intact. Mais si l’Empereur venait à gagner l’équilibre n’en serait pas troublé pour autant à ce qu’il paraitrait. Bon trêve de bavardage et emmène là-moi. Et veille à ce qu’elle ne s’enfuie pas. Je ne veux pas plus que toi qu’elle révèle que tu es maintenant avec Enkidiev, pas avant que ta mère soit en sureté.
HRP : Désolé pour le temps que ça m’a pris. J’avais complètement oublié mais je suppose que ma réponse en valait la peine.

Croiser le regard furibond d'Aléanarya fut plus pénible que je l'avais estimé... J'étais tout simplement désolé pour elle mais je savais aussi que cela valait mieux pour elle... De toute manière je n'eus pas le temps de s'en soucier plus avant que mon souverain, protecteur et ami répondit à mes dires et ce fut avec une agréable surprise que je me rendis compte que j’avais réussi à la faire changer d'avis. Mais surtout au delà de ce qui concernait notre affaire ce fut sa promesse concernant ma mère, le seul être qui ait jamais compté pour moi jusqu'à que je change de bord et pour laquelle je ne cessais de m'inquiéter, qui me fit chaud au coeur, et ce malgré mon sang froid. Bien sur j'aurai pu m'interroger sur le pourquoi il ne l'avait pas fait plutôt, mais je savais qu'il y avait des règles divine à respecter et je m’étais dit jusqu’alors qu'il se devait tout simplement d'y obéir... Il m'expliqua par ailleurs quelques détails à ce sujet, à propos de "l'équilibre" à respecter, mais ces notions s'avéraient être un peu trop abstraite pour un individu comme moi et bien que je l'écoutai attentivement je fus quelque part soulagé quand il mit un terme à la conversation et m’envoya chercher notre "hôte".

"Je vous en remercie seigneur, jamais je ne pourrai vous rendre ce que vous me donnez..."

Je m'inclinai alors pour respecter le protocole, mais je m’empressai ensuite de rattraper Aleanarya pour lui annoncer la nouvelle, néanmoins je me doutais que cela ne serait pas si simple... Qu'il allait me falloir affronter son courroux. Toujours est il qu'elle semblait m'avoir attendu, ce qui me facilitait les choses et sans lui laisser le temps de m’invectiver je pris alors la parole.

"Aléa ! Je... Je sais que dois te sentir trahie et oui je t'ai menti depuis le début je ne suis pas un espion envoyé par Irianeth... Enfin je l'étais au départ, mais j'ai rencontré Nashoba et.... Il m'a accueilli à bras ouvert et m'a traité bien plus décemment que tout les traitements que j’avais jusqu'alors reçu sur notre île ! et je ne l'ai pas fait que pour moi ! Regarde autour de toi ! Ici pas de souffrance gratuit ! La moindre erreur ne te coûte pas la vie et on t'aide à la réparer ! ...Bien sûr tout n'est pas parfait et malgré mes liens avec le souverain j'ai du mal à m'intégrer, mais.... Je pense qu'il y a bien plus à bâtir ici."

... Mon argumentation pouvait paraître stupide, surtout du point de vue d'une personne venant d'Irianeth, encore plus après de la fille de l'empereur, mais je n’avais jamais été un bon orateur et ce que je venais de dire était le mieux que je pouvais faire.

Aléanarya ne put entendre la suite de la conversation car les gardes avaient fermé la porte derrière elle, aléa attendit un petit moment Engar, elle ne le vit arrivait que quand il était derrière elle , la jeune femme aller partir quand celui-ci lui adressa la parole, aléa se tourna vers lui et elle lui planta son regard froid dans celui du saurien qui laisser paraître sa colère.

"Aléa ! Je... Je sais que dois te sentir trahie et oui je t'ai menti depuis le début je ne suis pas un espion envoyé par Irianeth... Enfin je l'étais au départ, mais j'ai rencontré Nashoba et.... Il m'a accueilli à bras ouvert et m'a traité bien plus décemment que tout les traitements que j’avais jusqu'alors reçu sur notre île ! et je ne l'ai pas fait que pour moi ! Regarde autour de toi ! Ici pas de souffrance gratuit ! La moindre erreur ne te coûte pas la vie et on t'aide à la réparer ! ...Bien sûr tout n'est pas parfait et malgré mes liens avec le souverain j'ai du mal à m'intégrer, mais.... Je pense qu'il y a bien plus à bâtir ici."

Elle avait envie de lui crier dessus, il fallait qu’elle se défoule tellement qu’elle était en colère, elle se sentait trahie , sali mais pour une fois elle ne haussa pas la voit elle parla de son timbre habituelle dune voix froide et neutre.

-Et bien tant mieux pour toi si tu te sens à ton aise sur ce continent … ce qui n’est pas le cas pour moi, tu sais Engar je ne suis pas comme toi, j’ai beau désobéir des milliers de fois à mon père je suis toujours vivante d’un coter je suis la princesse d’Irianeth et la chef des chevaliers du crave j’ai une bonne place dans mon continent donc je ne crains rien, franchement je ne trahirais jamais mon peule et ni mon père même si je ne le porte pas dans mon cœur ... Mais j’ai été naïf de croire que toi et moi on aura pu être ami. Tu es un très grand menteur tu m'as très bien dupé mais je ne tomberai plus dans ton jeu, tu la vraiment très bien cacher et puis pour quoi me parles-tu ? Tu dois me détester comme les humains…

Elle fi une pose pour puis reprit.

-Ce qu’on peut faire c’est que tu me ramènes jusqu'à la mer et là je rentre chez moi et on fait comme si on ne c’était jamais rencontrer …

Elle savait très bien qu'au fond d’elle, Aléa ne pourrait oublier ce qui s'était passé sur se continent.

Tout ce qu'elle lui disait... Lui aussi y avait cru à une époque, bien qu'il ait toujours été rétif, mais comment lui faire comprendre qu'elle faisait fausse route, du moins sur certains détails ? Il lui fallut quelques instants pour réfléchir à ce qu'il allait dire, quelles erreurs il pourrait lui montrer et le plus important... Sa décision finale. Quand enfin il parvint à organiser sa pensée il inspira profondément, ce qui de par ses origines sauriennes se traduisit par un long sifflement.

"Réfléchit Aléanarya. Peu importe ta place qu'apportera la manière d'agir d'Irianehth ? L'asservissement pour tout le peuple, non ? Même de celui qui devrait dominer puisque vous courberait l'échine devant un dieu... Je ne veux pas te rebuter, mais si tu retournes Irianeth et continue à agir pour ton père et les chevaliers du crave c'est ton propre avenir que tu détruiras ! Et au nom de quoi je te le demande... Quant à t'avoir menti c'est vrai, mais comment aurais tu réagi si j'avais annoncé,, bonjour e suis un protégé du roi de Zénor et ait trahit l’empereur ? Tu m’aurais probablement tué sur le champs alors je pense que tu peux comprendre que j'ai voulu survivre, mais j'ai aussi fait en sorte que tu t'en sortes aussi, car si je l’avais voulu tu aurais pu te trouver dans une position bien plus indélicates... Mais je ne l'ai pas désirée car malgré ta position je t'apprécie et te respecte... Donc non je ne te hais pas Aléa. Je t'apprécie grandement au contraire malgré nos divergences d'opinion."

Je marquais alors un temps d’arrêts puis la devançait un peu.

"Et c'est le cas des gens d'ici ils seront méfiants, mai s'y ferons... alors si tu veux toujours partir suis moi je te guiderai jusqu'à la mer, sinon tu peux tourner les talons et accepter l'offre de mon roi et ainsi, peut être, apprendre à mieux connaitre les hommes."

Sur ces paroles je m'avançais alors vers la sortie sans m'assurer qu'elle me suivait, ignorant de fait jusqu'à ce que j'atteigne le pont levis quelle était sa décision...

Engar avait réussi à enrouiller l’esprit d'Aléanarya car une partie de ce qu’il avait dit était juste. Aléa mit un moment à tout mettre en ordre dans sa tête et à prendre une décision qu’elle ne regrettera pas. Même si son père avait soif de conquête de pouvoir et pouvait faire des atrocités ,Aléa ne pouvaient pas le trahir ou le tuer c’est contre ses principes ses moyens car l’empereur avait faits tellement de choses pour elle , qu’elle lui devait au moins sa .La jeune femme resta un moment sens bougé , plonger dans ses pensées, elle réfléchit à la proposition du souverain, elle se dit qu'elle pourrait rester sur ce continent un moment , ça lui permettrait dans savoir plus sur les humains leur mode de vie, leur histoire cela pourrait l’aider à comprendre leur acte, leur réaction et leur façon de penser.

Mais pouvais t’elle faire confiance à Engar ? Sa elle ne savait pas. Il lui avait dit qu’il ne la haïssait pas, mais ses paroles étaient elle sincères ? Ou c’était encore un mensonge ? Et pourquoi voulait-il qu'elle reste ici ? Elle se posa pleine d’autres question et ne trouva aucune réponse, Aléa voulait trouvaient des réponses, c’est pour une de ses raisons qu’elle décida donc de ne pas partir tout de suite mais une chose qui était sur c’est qu’elle retournera un jour chez elle sur son continent.
Aléanarya se dirigea donc vers où était partis Engar pour le rejoindre, elle n’aurait pas dû allait dans cette direction par apport à sa décision car ça voulait dire pour Engar qu’elle voulait partir mais c’est-ce qu'aléa voulait qu’il pense, elle voulait qu’il doute, et croit le contraire de ce qu’elle allait faire.

Aléa arriva devant Engar et le regarda dans les yeux puis dits en prennent bien son temps et en fessant des pauses à chaque fin de phrase.

-J’ai pris ma décision … et je ne l’ai pas pris a la légère … j’y ai longuement réfléchi ….

Elle fit une pause et continua de parler

- je vais donc restait mais je serai très exigeante, si quelque chose ne va pas, s'il s’avère que ce que je pense des humains se confirme dans le sens négatif du terme, je partirai d’ici et je retournerai chez moi. J’essayerai de faire un effort mais je ne garantis rien.

...Quand je la vis revenir je savais que sa décision était prise;..Mais cette dernière n’était pas celle à laquelle je croyais et ce fut donc avec une stupeur ni dissimulée ni feinte que je l'entendait me faire part de sa décision. Elle restait donc ici... Bien sur ce n'était pas sans compromis, mais c'était tout ce que j'étais en droit d'espérer, ce qui ne me dérangeait aucunement, d'où le sourire que je lui adressais tout en lui répondant

"Tu me vois ravi de ta décision Aléa, j'essayerai de faire en sorte que tes désirs soient exaucés, quel qu'ils soient, cependant je pense que présentement il serait temps de te mener dans tes quartiers, la journée a été longue... Et pas la peine de retourner voir Nashoba, je lui expliquerai moi même la situation."

De toute manière quelque chose me disait que ce serait un bien mauvais départ au vu de la tension qu'il y avait eu entre deux si elle devait avoir sur le champs un nouvel entretien avec lui. Je lui tendais alors la main avec un sourire.

"...Tu m'as fait confiance une fois, je t'ai déçu et bien que c'était pour ton bien je te jure de ne jamais recommencer."

C'était à elle de décider de saisir ma main ou non...

Spoiler:

Aléanarya hésita à prendre la main d’Engar mais elle le fi pour lui dire qu'elle lui donnait une deuxième chance de se racheter, elle n’avait pas encore digéré sa trahison, mais il avait ses raisons, puis elle sonda son cœur pour savoir si ce qu’il venait de dire était sincère, elle oubliait des fois de se servir de ses pouvoirs n’étant pas une habitude pour elle préférant ne pas trop sen servir car elle n'aurait pas aimé qu’on le fasse sur elle mais bon la il fallait qu’elle le fasse pour répondre à ses interrogations et puis il y avait pas de mal ,elle eut un léger sourire satisfait en savant réellement ce qu’il pense d’elle. son côté humain était plus présent quand elle était avec Engar , que lorsqu’elle était sur son continent .

Elle suivit alors Engar jusqu'à ses appartements sens lui adresser un mot, la décoration était pour elle toujours pas a son gout mais bon sa lui changer de sa demeure sombre, c’était vraiment différent, ils montèrent les escaliers en marbre avec son autre main qui était disponible aléa toucha la rampe lisse. La façon dont était faits le palais la fascina d’un côté il y avait plein de matériaux de plantes de décoration de meuble enfin beaucoup de choses qu’elle n'avait jamais vu cela lui donna quelque idée pour décorer sa chambre. Lorsqu’ils arrivèrent devant la porte de ses quartiers elle enleva sa main de celle d’Engar délicatement puis ouvrit la porte pour voir comment c’était à l’intérieur, elle rentra et regarda tout autour d’elle la pièce fessait deux fois sa chambre, puis elle se retourna vers Engar et lui dit :

- Ou loges-tu ?

Spoiler:

Rejoindre les quartiers résidentielles ne prit pas longtemps, et ce à mon grand regret, car chaque seconde qu'Aléanarya passait à me suivre, en me tenant la main qui plus est, était une preuve du pardon qu’elle daignait m'accorder et rien en cet instant n'aurait pu me faire plus plaisir, si ce n'était l'accomplissement immédiate de la promesse de Nashoba concernant ma mère... Mais cela était utopique et je me contentais de ce dont je pouvais bénéficier en cet instant. Ce fut également un plaisir par ailleurs que de la voir entrer d'elle même dans sa chambre que je lui désignais et de déjà y prendre ses marques, avant de poser une question à laquelle je m'étais préparé.

"Je loges dans la chambre à droite de la tienne, cella à gauche est vide... Comme tu le devineras cette décision n'est pas fortuite, ainsi il est peu probable que tu sois dérangé par quelques individus négligents et si tu as besoin de quoi que ce soit tu saurais où me trouver... Néanmoins si cela te déplaît il devrait y avoir moyen pour changer cela."

Je m'inclinais alors légèrement pour lui signifier que j'allais prendre congé.

"A moins que tu ais besoin d'encore quelque chose je vais te laisser Aléa, tu peux te promener librement et faire ce que tu veux du moment que ça correspond aux lois d’ici... Et je tiens à préciser que contrairement à Irianeth il ne s'agit pas de celle du plus fort donc pas d'affrontement gratuit et encore moins de meurtres, mais si tu désires te défouler tu peux t’entraîner avec les gardes. Je pense qui'l n'y a plus rien à dire."

Je demeurai cependant sur place, attendant juste qu'elle confirme mes dires avant de partir, à moins qu'elle ai encore quelque chose à me demander nécessitant mon intervention ou des récriminations... Ce qui en vérité ne serait pas très surprenant.

Aléanarya ne répondit pas à la dernière parole d’Engar, elle acquiesça plutôt la tête d’un signe bref puis elle tourna les talons et ferma la porte qui claqua un peu. La femme chevalier souffla un bon coup, elle en avait marre de jouer les gentils. Aléa voulait se défouler mais elle ne le pouvait pas sans enfreindre les règles et il fallait qu’elle reste un peu plus longtemps pour apprendre à mieux connaitre les humains.

Tout à coup elle repensa à son père il devrait surement la chercher et avoir demandé de l’aide à sa sorcière. S'il savait ou elle était il croirait tout de suite qu’aléa les avait trahi, elle se concentra pour rentré en communication avec son père mais il y avait comme une barrière qui l’empêcher de communiquer avec lui .elle réessaya plusieurs fois mais elle n’y arrivait toujours pas.

Aléa fit les cent pas en tournent en rond pour réfléchir puis elle s’arrêta net quand elle trouva enfin une solution .aléa chercha dans sa chambre un bout de papier, une plume et de l’encre qu’elle trouva assez facilement. Il était disposé sur un bureau, Aléanarya s’assit donc et commença à écrire la lettre :

Cher père
Je t’envoie cette lettre pour te dire qu’il ne faut pas que tu t’inquiètes et que je suis sur le continent des humains, je ne t’ai pas trahi et je te trahirai jamais sache-le. Je ne sais pas quand je reviendrai mais fais-moi confiance, je t’expliquerai tout en rentrent.
Ta fille Aléanarya

Quand aléa eut fini elle l’enroula et l’attacha avec une ficelle puis se dirigea vers la fenêtre, elle imita un bruit d’oiseau, qui naviguait souvent entre Irianeth et le continent des humains, lorsque l’oiseau arriva elle le prit puis accrocha la lettre sur l’oiseau et le lança pour qu’il prend son envole .Aléanarya le regarda voler en direction de l’océan puis quand aléa ne le vit plus, elle ferma les rideaux d’un geste brusque comme à son habitude puis elle s’assit par terre seul dans le noir .