Nashoba était mort...
Engar en était encore sous le choc, tout d'abord parce qu'il s'agissait de son mentor et de son seul mai qui avait péri, mais aussi parce que l'espoir qui lui avait été donné de revoir sa mère venait de disparaître de la manière la plus abrupte qui soit... Mais malgré la douleur qui affligeait son coeur il se devait de respecter le devoir qui lui incombait, et ce dernier l'amenait à se rendre au royaume d'Emeraude. Il devait s'adresse au roi de ce royaume afin que soit choisis, avec les autres souverains que d’autres messager étaient allés voir, un successeur à Nashoba... Cette idée ne lui plaisait guère, non seulement car ce serait remplacé son ami comme un simple pion, mais également parce qu'il jouait sa destinée à pile ou face. Il suffisait que le souverains désignés discrimine ses semblables et il lui deviendrait impossible de survivre sur ce continent. Chassé d'Irianeth et d'Enkidiev que deviendrait il ?
Cette question à l'esprit depuis le début de son voyage son esprit était encore agité par ses interrogations alors qu'il avait franchi la frontière du royaume d'Emeraude et empruntait avec sa monture un raccourci vers le château d'Emeraude, coupant à travers bois. Plus tôt il se serait acquitté de sa tâche mieux ce sera... Néanmoins, il songea que c’était peut être une erreur quand il aperçut de l’agitation ans les fourrés. Ces terres étaient sensé être sures, mais les brigands étaient une réalité qui ne pouvait être ignoré, si ce n'était pire... Et ainsi sans descendre de sa monture Engar tira l'épée accrochée à sa selle et arrêta le cheval,qui renâcla quelque peu face au geste brusque de on cavalier, mais accepta de cesser d'avancer. Cela vaudrait mieux pour faire face à d'éventuels assaillants, et s'élancer en avant risquer de le faire tomber dans un piège qui serait plus redoutable que quelques gourdins maniés malhabilement, mais pour autant sa situation n’était pas des plus enviables... Durant plusieurs secondes il s'installa une sorte de silence pesant, avant que le saurien clame.
"Qui que vous soyez montres vous !"